Prévention des inondations et coulées de boue en cas d’orage

L’actualité #covid19 ne doit pas nous faire oublier que les journées plus chaudes du printemps et du début d’été ne sont plus très loin. Avec elles, revient le risque d’inondations boueuses lors des premiers orages survenant dans les campagnes où les champs ont été récemment semés (maïs, betterave, pomme de terre, pois, etc.). Ces inondations ne sont pas liées directement à un cours d’eau, mais aux endroits où se concentrent les eaux de pluie.

L’expérience des années précédentes montre qu’avec de la préparation, il est possible de limiter fortement l’apparition de ces phénomènes d’érosion intense, et de diminuer les dommages causés aux habitations, aux jardins et aux voiries.

En tant que particulier, mon terrain est-il à risque, et comment puis-je me protéger ?

  • L’inondation par ruissellement survient là où il n’y a pas de cours d’eau

Si vous n’avez jamais été confronté à ce problème, cela ne veut pas dire que le risque n’existe pas : en effet, ce type d’inondation est essentiellement liée à l’orage, et c’est parfois très localisé (à cent mètres près, on est inondé ou pas). Pour vérifier si votre terrain est situé sur un axe de concentration du ruissellement, il est utile de consulter la carte LIDAXES sur le Géoportail de Wallonie. Bien entendu, le bon sens s’applique aussi : si votre terrain est situé en contrebas d’un versant agricole cultivé, même sans axe de concentration identifié, une coulée de boue peut survenir.

  • Comment protéger mon habitation ?

Dès lors que votre terrain est soumis à un risque de ruissellement, voici quelques recommandations pour vous protéger. La première série d’actions à mener sur votre terrain et votre habitation est d’assurer le bon fonctionnement des ouvrages de collecte et d’évacuation des eaux de pluie : nettoyer les caniveaux, avaloirs, corniches et rigoles de tous les débris (feuilles mortes, banchettes, mousses…) qui ont pu s’y accumuler durant l’hiver. La deuxième action va consister à imaginer le trajet des écoulements intenses éventuels sur le terrain, et à dégager un passage libre : aucun tas de bois, bac à fleurs, compost, sac de terreau et autre réserve de matériel pouvant faire obstacle au ruissellement (ou être emporté vers l’aval). Et en dernier lieu, il faudra protéger ce qui risque malgré tout d’être touché par les eaux, ainsi par exemple : boucher les aérations de cave et soupiraux, surélever les machines et les armoires, enlever les tapis, etc. Il est aussi malin de garder à portée de main quelques outils : pelle, râteau, brosse et raclette, pompe vide-cave, bottes et lampe de poche. La commune peut aussi vous fournir quelques sacs de sable.

En tant qu’agriculteur, quel est mon rôle et quelle est ma responsabilité ?

Rappelons que le rôle de l’exploitant agricole, cultivateur ou éleveur, est aujourd’hui multiple : produire notre alimentation, mais aussi assurer une forme d’entretien des paysages. Ceci est particulièrement visible dans les communes rurales où les villages sont entourés de magnifiques étendues cultivées et pâturées. La lutte contre l’érosion est avant tout le défi des agriculteurs, car les champs sont les premières surfaces à subir une dégradation lors d’un orage, avec, à chaque épisode, une diminution de la fertilité.

  • Les moyens d’action de l’agriculteur

En matière d’érosion, voici les pratiques agricoles qui offrent de bonnes garanties pour diminuer le risque d’apparition d’une coulée de boue :

  1. Limiter la longueur dans le sens de la pente sur même champ à maximum 150 mètres : plus le ruissellement peut accélérer sans rencontrer une autre culture ou un obstacle, plus il est en mesure d’arracher du sol et de provoquer une coulée de boue.
  2. Pratiquer un assolement varié : sur un même versant, l’idéal est d’avoir une mosaïque de champs alternant cultures d’hiver vs cultures de printemps) et de prairies différenciés, obligeant le ruissellement à trouver différents chemins à la surface du sol, favorisant ainsi l’infiltration et diminuant l’apparition de ravines. 
  3. Couvrir le sol : la présence d’une plante ou de résidus de culture (pailles, cultures intercalaires, mulch) limite la destruction des mottes de terre par les gouttes lors d’un orage.
  4. Travailler le sol de manière à créer un état de surface favorable à l’infiltration, éviter l’émiettement et travailler en bonnes conditions d’humidité : cela empêche le tassement, préserve la structure du sol, et favorise l’infiltration en profondeur.
  5. Maintenir le taux d’humus au-dessus de 3 % : une terre bien pourvue en matière organique (M.O.) stable offre jusqu’à 20 % de résistance à l’érosion en plus qu’une terre pauvre en M.O. La clé pour cela est une gestion raisonnée de la fertilisation organique (fumier, compost, …), du travail du sol et des rotations (y compris les résidus de culture).
  6. Installer des éléments de protection : de préférence naturels et permanents (comme des bandes enherbées, des haies), ou artificiels et temporaires (fascines, ballots ancrés dans le sol), ces éléments localisés peuvent offrir un ultime barrage, une ultime protection et faire la différence à l’aval entre un dommage tolérable et une petite catastrophe.
  7. Travailler le sol perpendiculairement à la pente n’est pas la solution miracle : contrairement à une idée reçue, le sens des sillons de labour ou faire des buttes perpendiculaires à la direction de l’écoulement n’a pas un effet déterminant contre l’apparition des coulées de boue en cas d’orage violent ; toutefois, cette pratique peut être un « plus » dans certains cas particuliers (pente inférieure à 3 %, relief très uniforme).
  • Obligation ou bonne volonté ?

Disons-le d’emblée, la législation est peu contraignante en termes d’obligations dans la lutte contre l’érosion et les inondations pour l’agriculteur. On peut pointer trois obligations, toutes liées à la conditionnalité des aides agricoles : interdiction de cultures sarclées sur les parcelles en pente supérieure à 10 % (sauf si implantation d’une bande enherbée de 6 mètres de large minimum en bas du champ), interdiction de cultiver/labourer/pulvériser au bord des routes (sur 1 mètre de large), interdiction de détruire les haies, bosquets, talus, etc., (sauf si autorisé par un permis d’urbanisme). A l’intérieur de ces limites, l’agriculteur est en principe libre de cultiver ce qu’il souhaite, de la manière qu’il souhaite et sur l’étendue qu’il souhaite (et dans le respect, bien entendu, d’autres législations comme le Programme de Gestion Durable de l’Azote p. ex.)

Cette approche plutôt ouverte répond à l’objectif de laisser l’agriculteur opérer ses choix culturaux et ses pratiques agricoles de la manière la plus créative possible, pour faire face aux impératifs agronomiques et au contexte économique.


Check-list INONDATION  (Je suis inondé, que faire ?)

  1. Protéger 
    • Couper l’électricité si danger de court-circuit, le gaz, le chauffage.
    • Mettre les personnes vulnérables à l’abri.
  2. Alerter
    • Service de secours : 112 (en cas de danger de mort pompiers – ambulance) ou 1722 en cas de situation moins/non urgente (https://www.sos112.be/fr/pas-urgent)
    • Eviter de saturer le réseau GSM (uniquement appels urgents et importants)
  3. Secourir
    • S’équiper (bottes, gants, lampe de poche)
    • Evacuer l’eau, racler la boue.
    • Ecouter la radio et les réseaux sociaux officiels, suivre les consignes des autorités.


Inscrivez-vous à Be-Alert et recevez en temps réel les consignes de sécurité : https://be-alert.be/ 

Lors d’une situation d’urgence dans votre quartier, vous souhaitez être alerté à temps. L’alerte de la population est la première action en communication de crise.

En cas d’urgence, votre commune, province ou le Ministre de l’Intérieur s’assureront de vous fournir les recommandations urgentes dans les plus brefs délais. Sachez dès lors que faire pour vous mettre rapidement en sécurité.

Source : SPW

La stratégie de sortie de crise : Communiqué de presse de la Première Ministre

Sur la base d’un avis du Groupe d’Experts en charge de l’Exit Strategy (GEES), le Conseil National de Sécurité s’est réuni ce vendredi 24 avril au Palais d’Egmont pour définir la stratégie de déconfinement de la Belgique par rapport à la crise du Coronavirus. Pour rappel, le gouvernement fédéral et les entités fédérées ont pris ensemble une série de mesures depuis le 12 mars dernier afin de freiner la propagation du covid-19 dans notre pays. Les indicateurs encourageants – tels que la diminution du nombre d’hospitalisations journalières ou l’aplatissement de la courbe des décès liés au virus – permettent aujourd’hui d’envisager un déconfinement graduel. Les autorités insistent néanmoins sur le fait que le virus est toujours présent sur notre territoire et reste dangereux pour la population.

Les mesures strictes de confinement sont maintenues, au plus tôt, jusqu’au 3 mai inclus. Ensuite, la Belgique pourrait entamer son processus de déconfinement, si les conditions le permettent.

Tout mesure qui n’est pas explicitement supprimée est maintenue.

Les règles qui resteront en vigueur

Il est important de souligner que certaines règles resteront en vigueur, peu importe la phase de déconfinement dans laquelle nous nous trouvons. Il s’agit :

  • De la limitation des contacts entre personnes ;
  • Du respect des distances de sécurité ;
  • Des bons réflexes en matière d’hygiène, appelés aussi « gestes-barrières ».

Se couvrir la bouche et le nez

Se couvrir la bouche et le nez fera partie des bonnes pratiques pendant ce déconfinement. Cela peut se faire par l’intermédiaire d’un masque dit « de confort » ou d’une autre protection alternative (écharpe, bandana). Cette pratique sera :

  • Fortement recommandée dans l’espace public,
  • Obligatoire dans les transports en commun pour les usagers de 12 ans et plus. Cette mesure entrera en vigueur à partir du 4 mai.

Cette pratique n’est pas une protection suffisante si elle ne s’envisage pas dans le cadre du respect des distances de sécurité et des mesures d’hygiène.

Le gouvernement fédéral et les entités fédérées travaillent ensemble afin de procurer gratuitement à chaque citoyen au moins une protection en tissu normé. Diverses initiatives vont en ce sens. Les autorités souhaitent également distribuer deux « filtres » à chaque citoyen afin que celles et ceux qui le souhaitent puissent les intégrer dans les masques déjà acquis ou confectionnés. Les masques chirurgicaux et FFP2 restent, quant à eux, réservés aux professionnels de soins de santé, des maisons de repos, des collectivités ainsi que des services de sécurité.

Dans le monde du travail, l’employeur – y compris public – devra fournir des moyens de protection aux travailleurs, si cela s’avère nécessaire.

L’usage des transports en commun

Le déconfinement progressif engendra inévitablement une hausse de l’usage des transports en commun. Afin d’éviter les effets de foule, il est conseillé de :

  • Faire en sorte de se déplacer par ses propres moyens (marche, vélo, voiture, etc.) afin de laisser la priorité aux personnes qui ont le plus besoin des transports en commun ;
  • Éviter les heures de pointe, quand c’est nécessaire.

Stratégie de déconfinement

L’ensemble des dates qui suivent sont susceptibles de changer en fonction de la situation sanitaire et de l’évolution du virus.

1. Phase 1 – a (4 mai, estimé)

  • Pour les industries et les services B2B

Le télétravail reste la norme. Il sera permis de pallier l’impossibilité de respecter les distances de sécurité dans une entreprise par le biais du respect d’une série de recommandations sanitaires, dont le port du masque. En ce qui concerne l’organisation du travail, le Groupe des Dix a adopté un guide général de bonnes pratiques qui servira de base à des accords sectoriels ou en entreprise à conclure. Il sera ainsi une référence pour un redémarrage économique progressif dans des conditions saines et sûres pour toutes et tous.

  • Pour les commerces et l’horeca

Les règles ne changent pas, à l’exception des magasins de tissus et les merceries qui pourront rouvrir, au vu du rôle important qu’ils joueront par rapport aux protections couvrant le nez et la bouche.

  • Au niveau de la santé

Ces dernières semaines, l’épidémie a eu un impact important sur l’offre de soins, tant au niveau de la médecine de première ligne que des hôpitaux. Des groupes de travail étudient déjà comment répondre à la fois à l’impératif de continuer à offrir les meilleurs soins aux personnes infectées par le covid-19 tout en élargissant graduellement et de façon sécurisée l’accès aux soins de santé généraux et spécialisés. La volonté est que, le plus rapidement possible, chacune et chacun puissent avoir accès aux soins de santé de manière à nouveau « normale » tout en évitant de saturer les infrastructures médicales nécessaires à la prise en charge des malades du virus.

  • Au niveau de la vie quotidienne

L’activité physique en extérieur sera permise avec deux personnes maximum, en plus de celles qui vivent sous le même toit, à condition de toujours respecter les distances de sécurité. Il sera également permis de pratiquer d’autres activités sportives à l’air libre et sans contact. Si ces activités nécessitent une infrastructure, il n’en demeure pas moins que l’accès aux vestiaires et aux douches communes ainsi qu’aux cafétérias reste interdit.

2. Phase 1 – b (11 mai, estimé)

  • Pour les commerces

Cette phase permettra de rouvrir tous les commerces, en même temps, sans discrimination de taille et de secteur, laissant ainsi à chacun les mêmes chances de réussite. Cette réouverture s’envisagera impérativement sous conditions. Celles-ci seront définies en concertation avec les secteurs et les partenaires sociaux. Elles seront de trois natures :

  • L’organisation du travail,
  • L’accueil des clients,
  • La limitation de l’accès aux commerces pour éviter les effets de foule. Ne sont pas concernées les professions impliquant des contacts physiques.
  • Au niveau de la vie quotidienne

Nous clarifierons également l’avenir des compétitions sportives à court terme.

3. Phase 2 (18 mai, estimé)

  • Pour les commerces

Il sera examiné si et sous quelles conditions les professions impliquant des contacts physiques (comme les coiffeurs).

  • Au niveau de la culture

L’ouverture des musées pourra être envisagée, sous conditions également. Par exemple, via le développement d’un système de ticketing.

  • Au niveau de la vie quotidienne

Pour les sports d’équipe, l’entrainement physique en plein air sera permis au sein d’un club reconnu uniquement, et moyennant le respect de certaines consignes.

  • Au niveau de l’enseignement

La reprise des cours sera très progressive, avec une réouverture dès le 18 mai. Elle ne concernera pas tous les élèves. Chaque communauté aura la charge d’élaborer, en concertation avec le secteur, l’opérationnalisation de cette décision. Certaines pistes seront aussi étudiées :

  • La possibilité d’autoriser les réunions privées à domicile,
  • Celle d’autoriser la présence d’un plus grand nombre de personnes aux mariages et aux enterrements,
  • Celle de permettre à plus de deux personnes de pratiquer une activité en extérieur,
  • La possibilité d’organiser des excursions d’une journée dans certaines régions du pays ou de se rendre dans sa seconde résidence.

4. Phase 3 (au plus tôt le 8 juin, estimé)

Plusieurs points devront être examinés :

  • Les modalités de réouverture éventuelle et progressive des restaurants ; et puis des cafés, des bars. Ceci devra se faire, en tout état de cause, sous conditions strictes.
  • Les différentes activités estivales comme les voyages à l’étranger, les camps des mouvements de jeunesse (une décision devrait être prise d’ici la fin mai), les stages, les attractions touristiques mais aussi les événements en plein air de plus petite envergure.

La seule certitude, c’est que les événements de masse de type « festival » ne seront pas autorisés avant le 31 août.

Conditions de réussite

Pour assurer le déconfinement dans les meilleures conditions possibles, le testing et le tracing joueront un rôle prépondérant.

En ce qui concerne le dépistage, l’objectif est de pouvoir offrir un test de laboratoire à toutes les personnes qui en ont besoin, c’est-à-dire ceux qui présentent des symptômes et pour qui un médecin suspecte une infection, les personnes fortement exposées au virus de par leur profession et les personnes exposées au virus après un contact intense avec une personne infectée.

La capacité de nos laboratoires atteindra 25.000 tests PCR par jour pour le 4 mai, et cette capacité sera extensible jusqu’à 45.000. Afin de fournir un appui à la réalisation des tests, les laboratoires publics et privés ainsi que la plateforme fédérale sont pleinement mobilisés.

Concernant l’approvisionnement en matériel médical, les livraisons continuent et nous disposons d’un stock de matériel d’achat suffisant.

Pour le tracing, une stratégie coordonnée entre les régions et les communautés sera mise en place, avec l’appui des experts fédéraux.

Consultez-ici la présentation du Conseil National de Sécurité.

Source : https://www.info-coronavirus.be/fr/news/cns-24-04/

L’école est désormais obligatoire dès 5 ans.

Dès 2 ans et demi, un enfant peut être inscrit par ses parents ou la personne investie de l’autorité parentale dans l’école de leur choix.

Dès 5 ans, l’inscription est désormais obligatoire !

La fréquentation régulière de l’école maternelle permet à l’enfant d’entamer l’école primaire avec des bases solides et favorise la réussite de l’ensemble de sa scolarité.

L’école maternelle est un lieu de rencontres, de sociabilisation et d’apprentissage. Grâce au jeu et à l’expérience, l’enfant apprend notamment à vivre en groupe, à s’exprimer et à gérer ses émotions dans le respect de soi et des autres. Il développe sa créativité et sa curiosité et s’approprie la langue utilisée à l’école. Il construit les bases d’un apprentissage de qualité pour la suite de sa scolarité. Ces trois années préparent l’enfant à son entrée à l’école primaire.

Le droit à l’instruction est un droit fondamental de l’enfant.

À partir de la rentrée scolaire 2020 – 2021, les parents ou la personne investie de l’autorité parentale doivent présenter leur enfant à l’école tous les jours, dès l’âge de 5 ans.

Si toutefois l’enfant est absent, ils devront obligatoirement fournir un justificatif.

Consultez la brochure explicative ici

Plus d’informations

Cindy DEFOSSET

Rue de l'Hileau, 17 - 5560 Houyet
082/66.70.65
direction@enseignementhouyet.be

École libre de Hour


Rue de la Montagne, 11 – 5563 Hour
0474/16.22.89.
Contacter par mail

CORONAVIRUS : Informations sur les manifestations publiques – Avril 2020

Suite aux mesures prises afin d’éviter la propagation du Coronavirus, une série de décisions devaient être prises concernant les manifestions publiques organisées sur notre commune.

Les mesures de confinement allant jusqu’au 3 mai 2020, tous les événements planifiés ont été analysés consciencieusement. Vous trouverez ci-dessous les décisions événement par événement :

DateLieuEvénementDécision
Samedi 4/04/2020HouyetBibliobusAnnulé
VerBibliobusAnnulé
HouyetBédébusAnnulé
Mesnil-Saint-BlaiseBalade avec guide-nature : découverte et visite d’un rucherAnnulé
HourSouper du MFC HourAnnulé
Mardi 7/04/2020CiergnonBibliobusAnnulé
Mercredi 8/04/2020CustinneBalade avec guide-nature : le loup est-il de retour ?Annulé
Samedi 11/04/2020HourBalade avec guide-nature : découverte d’un chemin perduAnnulé
Mardi 14/04/2020HourBibliobusAnnulé
Mercredi 15/04/2020Mesnil-Saint-BlaiseBalade avec guide-nature : découverte et visite d’un rucherAnnulé
Mesnil-Saint-BlaiseRecyparc MobileAnnulé
Vendredi 17/04/2020HourHour Spring Party : Blind Test + SoiréeAnnulé
Samedi 18/04/2020HouyetSouper de la BourgmestreReporté
HourHour Spring Party : Concerts + SoiréeAnnulé
Dimanche 19/04/2020HourHour Spring Party : Jogging + SoiréeAnnulé
Mesnil-Saint-BlaisePoint Vert ADEPSAnnulé
HourMarché Artisans-Paysans d’Âme-HourReporté
Vendredi 24/04/2020FinnevauxBibliobusAnnulé
HulsonniauxBibliobusAnnulé
Mesnil-Saint-BlaiseBibliobusAnnulé
CellesLes Apéros CelloisAnnulé
Samedi 25/04/2020-Collecte de vélos dans les recyparcsAnnulé
Mercredi 29/04/2020WanlinBibliobusAnnulé
Vendredi 1/05/2020CellesPoint Vert ADEPSAnnulé
GendronGrande Fête WesternAnnulé
Samedi 2/05/2020HouyetBédébusAnnulé
GendronGrande Fête WesternAnnulé
Dimanche 3/05/2020CiergnonCiergnon en FêteAnnulé
GendronGrande Fête WesternAnnulé

Les organisateurs de ces événements ont été prévenus. Toutes les rencontres sportives sont également annulées.

Plus d’information

Vous avez encore des questions ? Surfez sur https://www.info-coronavirus.be/fr/ ou appelez le 0800/14.689.

Coronavirus : Confinement prolongé jusqu’au 3 mai 2020

Lors du Conseil National de Sécurité (CNS) de ce mercredi 15 avril, plusieurs décisions ont été prises.Comme à chaque fois, ces décisions reposent sur les avis des experts scientifiques.

Il a été décidé lors de cette réunion du CNS, en concertation avec les Ministres-présidents, de prolonger les mesures de confinement actuellement en vigueur jusqu’au 3 mai inclus.

Afin de rendre cette prolongation de confinement plus soutenable, nous avons également décidé que :

  • Les magasins de bricolage et les jardineries pourront rouvrir leurs portes, aux mêmes conditions que les magasins d’alimentation. Les distances de sécurité devront donc être d’application ;
  • Nous autorisons également les résidents des structures d’hébergement – c’est-à-dire les maisons de repos et de soins ou les centres pour personnes avec un handicap par exemple – à recevoir la visite d’un proche désigné. Cela, à condition que le résident en question ne présente aucun symptôme de la maladie depuis deux semaines. Cette personne devra toujours être la même. Les maisons de repos se chargeront de l’organisation de ces visites. Ces règles seront aussi d’application pour les personnes qui vivent seules et qui ne peuvent pas se déplacer.

Les écoles ne rouvriront pas ce lundi 20 avril 2020. La situation sera évaluée à nouveau la semaine prochaine.

Les consignes de base restent inchangées jusqu’au 3 mai et doivent impérativement être respectées. Les forces de l’ordre continueront à s’en assurer.

Un nouveau Conseil National de Sécurité sera organisé la semaine prochaine et aura pour objectif d’élaborer de manière plus précise la prochaine étape du déconfinement. Notre objectif est de pouvoir organiser le déconfinement progressif pour le début du mois de mai. A noter qu’il s’agira d’un processus évolutif et basé, comme toujours, sur les travaux des scientifiques.

Cette stratégie reposera sur plusieurs piliers, à savoir les distances de sécurité, le dépistage à grande échelle mais aussi le tracing, et le développement de nouvelles règles à appliquer dans le monde du travail. 

Il est clair que le port du masque – même dit de confort – jouera aussi un rôle important dans la stratégie de déconfinement. Un premier rapport nous a été remis par les scientifiques et les représentants fédéraux et régionaux de la santé. Il nous indique que, lorsque les mesures de confinement seront levées progressivement, les masques en tissu seront conseillés pour toute situation où les distances de sécurité ne peuvent être respectées. Cela passera notamment par une production nationale. Néanmoins, les masques ne remplaceront pas les mesures d’hygiène et les distances de sécurité. 

A court-terme, le Conseil National de Sécurité se prononcera sur les analyses et propositions du groupe en charge de l’Exit Strategy, notamment sur le timing adéquat et les conditions de réouverture progressive d’une part, des commerces et d’autre part, à terme, des cafés, restaurants et bars mais aussi sur la situation des écoles, des stages et des mouvements de jeunesse et les voyages. Il est déjà acquis qu’aucun événement de masse tels que les festivals ne pourront être organisés avant le 31 août inclus.

Concernant le monde du travail, les règles actuelles resteront d’application jusqu’à ce que des protocoles d’accord puissent être scellés, secteur par secteur. L’objectif de ces protocoles sera de permettre aux entreprises de reprendre le plus rapidement possible une activité normale, tout en garantissant les conditions adéquates de travail de leurs employés et qui devront être adaptées aux circonstances. Le télétravail devra, quant à lui, continuer à être privilégié pendant un certain temps encore.

Source : Be-Alert


Réouverture des Recyparcs : Communication du BEP Environnement

« Suite au Conseil National de Sécurité de ce mercredi et à la demande de la Ministre wallonne de l’Environnement, BEP Environnement a préparé un plan de réouverture des recyparcs. Pour l’heure, nous attendons la décision définitive de la Ministre pour le mettre en œuvre. En tout état de cause, la réouverture des recyparcs ne se fera pas avant le mardi 21 avril. »


Numéros et sites utiles :

Annulée – Collecte de vélos dans les recyparcs

En raison de la crise sanitaire liée au COVID-19, la collecte de vélos du samedi 25 avril ne pourra se tenir.

Vous souhaitez faire un don au lieu de jeter ?

Dès la réouverture des recyparcs, si vous souhaitez apporter un ou des vélos en bon état, ceux-ci seront mis de côté et dirigés vers une/des association(s) en faveur de l’économie sociale (réinsertion de jeunes via la réparation des vélos).

Merci !

Votre compréhension et votre engagement lors de ces collectes montrent votre soutien à ce projet.

Attention, la prochaine collecte de livres jeunesse qui devait se tenir le samedi 20 juin est également annulée. 

Face à la crise, vous aussi soyez un CRACS !

Ce 3 avril 2020, Madame la Bourgmestre a adressé un courrier aux comités de jeunes et aux clubs sportifs afin de les mobiliser face à la crise sanitaire que nous vivons :

Malgré les différents messages concernant les mesures prises en vue d’éviter la propagation du Coronavirus-COVID-19, force est de constater que certains jeunes ne se sentent toujours pas concernés et ne respectent donc pas ces mesures. Heureusement, ce n’est pas le cas de tous les jeunes et bon nombre d’entre eux se montrent responsables. Votre influence auprès de votre communauté est donc primordiale.

Nous vous invitons à conscientiser les membres de votre comité et d’en faire des « CRACS » : des Citoyens Responsables, Actifs, Critiques et Solidaires tel qu’expliqué par la Fédération Infor Jeunes sur son site internet.

Voici quelques éléments que vous pouvez communiquer aux jeunes et susciter le débat avec eux :

  • Citoyens : Nous faisons tous partie d’une communauté et nous devons faire en sorte de la respecter. Cela passe par le respect des mesures de confinement et d’hygiène.
  • Responsables : Nous sommes tous responsables de nos actes. Surtout ceux qui peuvent affecter nos parents, nos grands-parents, nos amis. En ne les voyant pas pour le moment, c’est se montrer responsable. Donc, on n’oublie pas de se laver les mains, tousser dans son coude, garder une distance de minimum 1,5m, etc.
  • Actifs : Nous pouvons être actifs en respectant simplement les mesures du gouvernement, mais aussi en se rendant utile à la communauté : téléphoner à nos proches pour prendre de leurs nouvelles, confectionner des masques, etc.
  • Critiques : Plusieurs fausses informations circulent au sujet du Coronavirus. Il ne faut pas tout croire, posons-nous les bonnes questions, faisons appel à notre sens critique.
  • Solidaires : Les jeunes ne sont pas considérés comme personnes à risque mais peuvent aussi contracter le Coronavirus et surtout le transmettre à leurs proches. Soyons solidaires et tous ensemble nous viendrons à bout de ce virus en respectant toutes les mesures de confinement.

Vous l’aurez compris, il est très important que toute la population prenne au sérieux ces recommandations. Nous comptons sur vous pour faire passer le message et le faire comprendre aux derniers récalcitrants.

N’hésitez pas à partager ce message et le visuel CRACS joint à ce courrier sur vos réseaux (Page Facebook, groupes privés,…)

Avec toute notre confiance !

Sources :
Fédération Infor Jeunes
AVIQ

Urgence sociale : deux outils mis en place par la Wallonie.

Soucieuse du sort de nombreux citoyens touchés par la crise du covid-19, la Wallonie met en place un service d’aides aux urgences sociales, et ce via deux canaux : le renforcement du numéro vert 1718 et la mise à disposition de FAQ spécifiques sur le site luttepauvrete.wallonie.be

La crise du coronavirus est difficile à gérer pour tout un chacun mais elle fragilise également d’autant plus les personnes qui en temps « normal » devaient déjà affronter de nombreuses difficultés.

En effet, les personnes précarisées, porteuses de handicap, en détresse psychologique ou en situation de difficulté sociale importante sont souvent plus démunies face à la crise sanitaire.

Dans ce cadre, le Gouvernement wallon et le Réseau wallon de lutte contre la Pauvreté ont lancé une task force d’urgence sociale afin d’adopter une approche concertée des problèmes qui surviendront dans le cadre de l’épidémie du coronavirus et qui impacteront les populations les plus vulnérables.

Ce groupe de travail a rapidement débouché sur la mise en place de deux dispositifs : le renforcement du numéro vert 1718 et la mise à disposition de FAQ spécifiques sur le site luttepauvrete.wallonie.be. Toute personne ayant une question relative aux aides existantes en matière d’alimentation, de crédit, de logement, de situation professionnelle ou de chômage est donc invitée à utiliser un de ces deux canaux pour recevoir un accompagnement personnalisé.  

Renforcement du 1718 (numéro gratuit de l’administration wallonne)

L’équipe du 1718 a été renforcée. Les agents ont été formés dans un temps record à répondre à des questions relatives aux aides existantes en matière d’alimentation, de crédit, de logement, de situation professionnelle ou de chômage. Ils se font également le relais entre une personne en difficulté et l’interlocuteur adéquat pour l’aider (aides psychologiques, aides aux assuétudes, détresses familiales, etc.).

Le numéro est gratuit et accessible de 8h30 à 17h tous les jours ouvrables. Pour les germanophones, composer le 1719.

Mise à disposition de questions spécifiques sur le site luttepauvrete.wallonie.be

Ce site a été enrichi d’une soixantaine de questions répondant aux besoins spécifiques des personnes en difficultés et envoie également vers les aides adéquates pour chacune des questions évoquées

luttecontrelapauvrete.wallonie.be – Pour plus de facilité dans la recherche d’informations, taper des mots-clés dans la barre de recherche

Avis aux kinésithérapeutes respiratoires et aux sages-femmes

Mise à jour 01/04/2020 – 8h30

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La Commune de Houyet a réceptionné des masques destinés aux kinésithérapeutes respiratoires et aux sages-femmes.

Les masques seront à retirer à l’Administration Communale, Rue Saint Roch 15 à 5560 Houyet, en PERSONNE (aucune procuration ne sera acceptée) dès le 01/04/2020 à 13h !

Veuillez vous présenter avec votre carte d’identité et votre numéro INAMI.

Les bureaux étant fermés au public, merci de bien vouloir vous annoncer au 082/67.69.76 entre 8h30 et 16h

Nous attirons votre attention sur le fait de vous fier UNIQUEMENT aux canaux de communication officiels ! Nous faisons appel à votre vigilance !

Restez informés : www.houyet.be et www.info-coronavirus.be

[CORONAVIRUS] Nouvelles décisions suite au CNS.

Suite au Conseil National de Sécurité du 27 mars 2020, voici les nouvelles décisions prises par le Gouvernement :

➡️ Le confinement est prolongé jusqu’au 19 avril 2020 (prolongeable de deux semaines, jusqu’au 2 mai 2020)

➡️ Maintien des mesures de confinement actuelles.

➡️ Les contrôles et les patrouilles de police ? seront renforcés !

➡️ Application stricte des sanctions en cas de non respect des mesures !

➡️ Une garderie sera organisée dans les écoles pendant les vacances de Pâques.

Le respect de ces mesures par TOUS les citoyens est important ! Nous comptons sur vous, sur votre solidarité et votre civisme ! Tous ensemble, nous y arriverons !

Tenez bon, restez chez vous ! ???


Communiqué de Madame la Première Ministre, Sophie Wilmès

Lors du Conseil National de Sécurité (CNS) élargi aux Ministres-présidents de ce vendredi 27 mars, il a été décidé que les mesures prises préalablement seront prolongées de deux semaines, jusqu’au 19 avril. Cette décision pourrait être renouvelée de deux semaines, jusqu’au 3 mai. La situation est en tout état de cause évaluée en continu. Des CNS seront convoqués régulièrement pour faire le point sur la situation.

Pour rappel, le détail des mesures est disponible sur le site Internet www.info-coronavirus.be

Néanmoins, quelques précisions : 

  • Concernant l’activité physique en plein air, l’activité physique et les promenades restent encouragées, toujours dans le respect de la distance sociale pour le temps de l’activité. Les citoyens sont donc en dehors de leur domicile le temps de l’activité uniquement. Il est demandé de rester en mouvement pendant l’activité (pas d’installation dans les parcs, par exemple). 
  • Les « lockdown parties » organisées par quelques citoyens mettent en danger nos grands efforts et sont un problème récurrent qui a des conséquences sanitaires importantes, comme l’actualité nous l’a démontré. Ces fêtes restent bien entendu interdites. 
  • En ce qui concerne les écoles, et particulièrement leur fonctionnement pendant les vacances de Pâques 

                               – La règle reste la même. La garderie des enfants dans les écoles doit pouvoir être assurée pendant cette période aussi ;

                                – Si cela s’avère vraiment impossible, une autre forme de garderie peut être organisée, qui respecte les conditions suivantes :

  • Les enfants gardés ensemble jusqu’à présent devront continuer d’être pris en charge ensemble et ne pas être mélangés à d’autres enfants ;
  • Les enfants seront de préférence pris en charge par des personnes avec qui ils ont déjà eu des contacts dernièrement.

Comme à chaque fois, les décisions reposent sur les recommandations des experts scientifiques fournies un peu plus tôt dans la journée.

Les infractions sont et seront sanctionnées. De plus, nous mettrons en place à court-terme un système de perception immédiate des amendes.

Chacun dispose d’une responsabilité individuelle et collective dans le respect de ces décisions qui, on le sait, sont difficiles. L’engagement, l’esprit de solidarité et de responsabilité de chaque Belge doivent être salués. Chacun le sait, ces mesures sont indispensables pour préserver notre santé. Le travail du personnel soignant doit aussi être mis en avant. Leur engagement au quotidien est remarquable et l’ensemble des autorités du pays met tout en œuvre pour assurer leur protection. Enfin, l’engagement de toutes les personnes qui continuent de faire fonctionner le pays au quotidien est également fondamental. Nous les remercions aussi.

Continuez à prendre soin de vous ; continuez à prendre soin des autres.


Numéros et sites utiles :

[CORONAVIRUS] Consignes à la population pour la collecte des déchets.

Le BEP Environnement nous demande de relayer auprès de notre population quelques consignes importantes, liées à l’observation de récentes dérives et ce, dans le but de garantir la sécurité des travailleurs de la collecte et le bon déroulement des tournées, dans le contexte de la crise que nous connaissons.

  • Compte-tenu de la réorganisation des tournées (afin de garantir les règles de distanciation sociales pour les travailleurs), les camions poubelles sont susceptibles de passer plus tôt que d’habitude. Les citoyens doivent donc de préférence sortir leurs sacs poubelles ou conteneur la veille de la collecte au soir.
  • Le personnel du BEP Environnement souhaite exprimer ses remerciements à la population pour toutes les marques de sympathie reçues, soit tout au long des tournées (petits mots d’encouragements, dessins, …), soit par téléphone ou via les réseaux sociaux.

À ce stade, sauf augmentation de l’absentéisme, il ne devrait pas y avoir de perturbations dans les collectes la semaine prochaine.

Nous en profitons également, pour insister sur les mesures de précaution demandées au citoyen depuis le renforcement de la Phase 3 à savoir :

  • D’utiliser toujours un sac (non payant) pour mettre les déchets, avant de les mettre dans le sac réglementaire de sa commune ou dans le conteneur.
  • De veiller à mettre les mouchoirs en papier usagés ainsi que les masques ou gants de protection dans les déchets résiduels.
  • De bien fermer les sacs.
  • De limiter la production de déchets verts, de les conserver à domicile ou, dans la mesure du possible, de les composter individuellement.
  • De stocker à domicile les déchets dangereux (habituellement acceptés dans les recyparcs) comme peintures, produits dangereux, diluants, emballage ou restes de pesticides ; ceux-ci ne peuvent en aucun cas être mis dans le sac de déchets ménagers ou le conteneur à puce.
    Cette disposition vaut également pour les déchets d’amiante qui doivent être conservés à domicile dans un emballage étanche fermé.

Pour rappel, les recyparcs sont fermés jusqu’à nouvel ordre.

Pensez à consulter le site du BEP Environnement ou leur Page Facebook.